Tony Cragg réalise de grandes
compositions et des œuvres où s'affirme le volume : en effet, héritier des
nouveaux réalistes, du pop art ou du néo-dadaïsme, comme en témoignent
certaines de ses œuvres, Cragg joue aussi avec les objets que le monde
industriel rejette. De ce fait, cela l'amène vers la fin des années 1980 et le
début des années 1990 à empiler des objets selon leur taille ou leur matériau,
selon leur couleur aussi, comme si l'œuvre se créait naturellement selon un
simple geste de tri préliminaire.
Au milieu des années 1980, il
travaille simultanément le verre, le bois, la pierre ou le bronze évoquant
l'univers de la science, des cultures ou des paysages. Une de ses réalisations
est conservée au Museo Cantonale d'Arte de Lugano.
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